Derrière ses portes, une sensation familière vous enveloppe. Celle d’une demeure où chaque détail chuchote une tradition d’accueil, où le moderne s’épouse discrètement avec l’authentique. Les couloirs, témoins silencieux d’éclats de rire et de confidences, conduisent à des havres de sérénité où le bruissement de la ville n’est plus qu’une douce mélodie.

Le parfum du café du petit-déjeuner se mêle à la senteur des fleurs dans la cour, un sanctuaire de verdure où il fait bon laisser vagabonder ses pensées, un livre à la main. C’est l’art de vivre aixois, pur, sans artifice, offert simplement. L’Hôtel Saint Christophe n’est pas une adresse sur une liste, mais une pause poétique, une parenthèse hors du monde. C’est l’assurance de repartir non pas avec un souvenir, mais avec une sensation : celle d’avoir été, pour un moment, chez soi, au cœur secret de la Provence.

L’Hôtel Saint Christophe, avec ses 61 chambres, rend hommage aux teintes et paysages de la Provence. Chaque niveau est revêtu d’une nuance inspirée par le grand maître de l’art moderne d’Aix : le bleu cobalt, l’ocre jaune, le vert émeraude et la terre de sienne se transforment en surfaces géométriques où la couleur prédomine. Chaque étape transporte le visiteur dans une atmosphère à la fois calme et animée, faisant référence au ciel d’un bleu éclatant, à la garrigue verdoyante, aux roches baignées de soleil et au sol argileux.

Ces chambres raffinées et épurées saisissent l’âme de la Provence tout en proposant un luxe subtil. Les finitions minutieuses, telles que les accents lumineux au-dessus des lits et l’utilisation de pierre naturelle dans les salles de bain, apportent une touche d’élégance.

La Brasserie Léopold, située en plein centre d’Aix-en-Provence, fait peau neuve, telle une émanation du passé qui trouve écho dans le présent. Après une longue période de calme et de restaurations détaillées, ce monument emblématique revit, restant fidèle à sa nature : le charme éternel d’une grande brasserie française. La Brasserie Léopold, un lieu de rendez-vous, d’histoire et de plaisirs communs, se réaffirme comme une adresse incontournable à Aix. 

Avec sa réouverture, Léopold se distingue une fois de plus comme un lieu incontournable. Que vous soyez un visiteur intrigué ou un habitant fidèle d’Aix, cette brasserie représente la quintessence du mode de vie à la française, un trésor à apprécier, du repas de midi jusqu’à la dernière flûte de champagne. En ce qui concerne la carte, elle revisite les classiques avec délicatesse. Chaque plat narre une histoire de terroir et d’expertise. Les produits sont minutieusement sélectionnés, afin d’obtenir une parfaite union entre tradition et modernité.

Ici, chaque porte entrouverte dévoile un sanctuaire où le temps a choisi de s’écouler plus lentement. Les chambres de l’Hôtel Saint Christophe ne sont pas de simples lieux de repos, mais des refuges intimes où l’âme d’Aix-en-Provence s’invite en silence.

Une douce pénombre accueille le voyageur, filtrée par des stores qui dansent avec la lumière du jour. Les murs, parés de teintes chaleureuses qui évoquent la terre ocrée de la Provence, semblent absorber les murmures de la ville pour n’en garder que la quiétude. Le mobilier, élégant et discret, raconte une histoire d’attention et de goût, où le charme de l’ancien converse avec le confort du présent.

Au centre, le lit s’impose comme une invitation à la rêverie, une île de douceur et de linge immaculé où le sommeil devient un voyage. Chaque détail est une caresse : la lueur dorée d’une lampe qui caresse un livre entrouvert, l’espace paisible où poser ses valises et ses pensées, la fenêtre qui frame le ciel aixois ou les toits de tuiles comme un tableau vivant.

L’esprit de Cézanne plane dans ces espaces épurés, où la lumière est la première décoratrice. C’est une élégance simple, une sérénité profonde qui s’offre à vous. Une promesse que la nuit sera douce et le réveil, bercé par le chant léger d’une ville qui s’éveille juste assez pour vous rappeler que vous êtes au cœur de son secret. Ici, on ne fait pas que dormir ; on se repose, on respire, on se retrouve.